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  Rien de mieux qu'un exemple concret pour illustrer tout ça.

Autant alors vous parler en toute franchise de mon expérience personnelle.

      Un jour que je pestais de ne pas pouvoir réaliser quelque chose qui me tenait très à cœur et qui était (selon moi bien sûr) génial et utile, avec des conséquences très positives pour beaucoup de monde, j'ai pris le temps de me calmer et j'ai essayé de bien percevoir chacun de mes besoins.

      J'avais d'abord besoin de m'organiser. Alors j'ai cherché sur le net. J'ai trouvé un logiciel pour s'organiser quand on n'y arrive pas trop bien soi-même (enfin, rapport à un truc compliqué à faire, n'allez pas croire que je ne sais pas m'organiser 😂). J'ai installé ce logiciel sur mon ordinateur et j'ai pris du temps pour comprendre à peu près son fonctionnement. Mais "à peu près", c'est souvent "pas assez" et au final, ça vous prend bien plus de temps que vous ne le pouvez ou voulez. D'ailleurs, je ne savais pas qu'il y avait autant de logiciels pour aider à s'organiser. En fin de compte, j'arrivais moyennement à utiliser ce logiciel. Beaucoup de choses n'étaient pas compatibles avec la structure de mes idées et ma façon de penser. C'était très formaté, sans souplesse... Finalement, j'ai acheté un bloc-note et pris un stylo. Mais j'ai bien vu après des tas de feuilles griffonnées, des jours plus tard, que cela avait également ses limites. Tous les outils ont leur limite. Et je me souviens avoir pensé : pourrait-on  créer un outil à cet effet mais presque sans limites ? L'idée de Tadekiwi était née dans mon subconscient mais il allait falloir encore beaucoup de temps pour qu'elle en sorte et que je me rende compte de son potentiel immense. En attendant, j'avais perdu du temps et de l'énergie : deux facteurs démotivants dans la poursuite de tout projet.

      J'avais besoin d'un local et je me suis mis en quête de celui-ci. Il y a des tas de sites pour cela. Plus ou moins bien. J'étais un peu perdu. D'une manière générale, mon sentiment était que quel que soit le site et l'annonce, les gens ne voulaient pas vraiment me proposer un bien qu'ils possédaient mais plutôt gagner un maximum de pognon avec le bien qu'ils possédaient. Alors je me suis dit : "bon sang, Gvidos, il y a bien quelqu'un qui pourrait t'aider parce que ce que tu vas faire l'intéresse et qui ne soit pas assoiffé d'argent ?" Oui, certainement, mais alors comment le trouver ? Autant chercher une aiguille dans une botte de foin...

      J'avais besoin d'un associé qui s'y connaisse dans un domaine très précis et qui soit évidemment intéressé par mon idée. Il n'y en avait pas dans mon entourage. Je ne ne voulais pas d'un "rigolo" non plus ou quelqu'un qui ne cherche qu'à profiter de moi. En plus de son domaine, j'aurais apprécié qu'il aime l'écologie, qu'il soit passionné de stratégie, à peu près du même âge que moi, quelqu'un d'humaniste qui partagerait des valeurs avec moi. C'était trop demander ? J'ai fureté sur Viadéo, sur Facebook, sur Linkedin, sur Google même et puis sur d'autres sites moins connus. Mais peine perdue, autant chercher un grain de maïs précis dans un champ des grandes plaines américaines. Autrement dit : mission impossible avec mes moyens.

      J'avais besoin d'un peu d'argent supplémentaire (vous avez compris : plus que j'en avais de disponible). Et franchement, en dehors des banques, des proches, famille et amis (qui sont tous rarement de généreux donateurs ou auprès de qui on craint de demander par peur de refus), je ne voyais donc pas où en trouver. Le financement participatif ? Il arrive bien trop tard. Il y a en effet un grand écart entre une idée de projet et le financement participatif pour lequel un projet a déjà été créé et bien ficelé (de plus, à l'époque cela n'existait pas). Au final, je me suis contenté de réduire les coûts du projet au minimum dans ma tête. Mais, était-il encore viable après cette coupe franche ?...

      Et puis enfin, le plus important : j'avais besoin de me lancer. "Se lancer"... On pense que c'est juste se secouer ou se donner (voire recevoir) un bon coup de pied aux fesses ? Non, ce n'est pas que cela. C'est loin d'être évident de se lancer dans un truc nouveau et inconnu. Dans la piscine estivale bondée, voyez le nombre de badauds couleur écrevisse qui regardent avec un peu de jalousie celui qui, tout bronzé,  frime du haut du plongeoir du 5 mètres avant un magnifique plongeon qui récoltera l'admiration. Voyez aussi discrètement ceux qui sont redescendus du plongeoir sans se lancer. Ce n'est pourtant qu'un saut dans l'eau, bien loin de la complexité d'un projet. Et allez donc faire un saut à l'élastique ou sauter en parachute. Non, se lancer n'est pas anodin et un projet c'est bien plus complexe qu'un simple saut. J'aurais bien aimé avoir quelque chose ou quelqu'un pour me soutenir. Mais je n'avais rien. En général, en guise d'encouragement, on recueille plutôt des "t'es fou ou quoi ?", "tu crois vraiment que ça va marcher?" ou bien des "t'as pas mieux à faire de ton argent ?", "moi si j'étais toi... j'y réfléchirais à deux fois", "tu es sûr que tu sais dans quoi tu te lances ?" ou encore "tu as autant de temps libre pour réaliser un truc pareil ?"

      Bref...

      Pour toutes ces raisons, et quelques autres encore que je tairais par pudeur - vous vous en doutez - le projet est resté à l'état de pensée. Et puis, il s'est transformé en souvenir. Pas exactement ce que j'avais souhaité. Maintenant c'est un projet quasi-oublié parmi d'autres. Je ne m'en suis souvenu que récemment, en retombant sur tous ces trucs griffonnés sur des feuilles de calepin que j'avais machinalement placées dans une pochette, devenue poussiéreuse. Et pourtant j'ai le vague souvenir d'une grande excitation et d'une motivation débordante lorsque par le passé j'avais accouché de cette idée. Le pire, c'est que je ne suis toujours pas en mesure de réaliser ce "kiwi", comme je les appelle.

      Ce dont j'avais besoin à l'époque, c'est d'un Tadekiwi. Un truc accessible qui me permette de résoudre toutes ces problématiques en même temps et auquel je puisse m'accrocher pour prendre mon élan, tranquille, seul devant mon écran, progressivement mais inéluctablement, sans stress ou négativité. Grâce à Internet, le monde s'offre à nous maintenant depuis un simple un écran. Encore faut-il l'outil adapté et efficace.

 

      Maintenant, je vais le faire ce "Tadekiwi" et je l'espère, avec l'aide d'un maximum de gens. Évidemment, vous l'avez certainement compris, je ne vous ai pas tout dit sur ses mécanismes. Nous vivons dans un monde de piratage et de copie. Lorsqu'on a développé une excellente idée, on n'en donne que quelques atouts et on cache le reste de son jeu, en particulier le plus précieux.

       J'aime beaucoup la phrase qu'a dite autrefois Eric Schmidt, le PDG de Google : "Nous n'avons pas de plan à cinq ans, ni à deux ans, pas plus à un an. Nous avons une mission et une stratégie. La mission est d'organiser l'information du monde. La stratégie est de le faire à travers l'innovation." Et ça c'est devenu Google, aujourd'hui omniprésent. Je pourrais dire la même chose de Tadekiwi. Je n'ai pas de plan à cinq ans, pas plus à un an. La mission est de faire aboutir les projets personnels des gens dans le monde. La stratégie est de leur proposer l'outil universel pour le faire."

Toujours pas compris ce qu'est Tadekiwi ?

Bon. Ce n'est pas grave. Il y a aussi Candy Crush 😬.

 

Gvidos                            

 

 

         Bon, on va reprendre en faisant simple...

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